Couverture : Saturne dévorant un de ses enfants, Francisco de Goya, musée du Prado, Madrid.
22€99
Roman, broché, 594 pages.
« Je t’aime Seigneur ! Tu me connais infiniment mieux que moi-même. Tu m’as guéri par surprise, sans que je ne T’aie rien demandé (Tu savais que je T’avais presque entièrement oublié, malgré toutes les choses prodigieuses que Tu avais faites pour moi avant (j’ai honte de T’avoir oublié, mais il est vrai que ce n’était que ma faiblesse humaine ; en fait, c’était peut-être même tout simplement la Volonté de Ton Père)). Et en plus, Tu m’as guéri avec beaucoup d’humour. Pour me faire plaisir, parce que Tu sais très bien que j’aime énormément l’humour ! »
Et nous mangerons le désastre s’affirme «ovniesque» et stupéfie. Les textes qui le constituent ont été écrits au fil des années, et non pas pour constituer une somme – et pourtant, c’est bien une même oeuvre qui texte après texte advient comme naturellement. Ce qui se déploie – réflexions littéraires, politiques, amoureuses, récits disparates – est toujours autre chose aussi et surtout, et cette autre chose, c’est l’ovni – objet vivant non identifiable.
Bruno Maillé
Laisser un commentaire