Ecarquillant comme jamais les yeux, Je vis des ombres vêtues de manteaux Dont la couleur était celle du roc.
Parce que la Divine Comédie est vivante, Emmanuel Tugny s’attache à en restituer la puissance imaginative et musicale, tandis que Jacques Cauda nous offre des trente-trois chants du Purgatoire des images frappantes, éclatantes – heureusement dérangeantes.
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